Soumise dans la grange

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il y a 7 ans

Les bougies vacillaient sous les courants d'air provoqués par le balancement de la fille suspendue par les poignets au crochet fixé dans les poutres de la vieille grange. Elle attendait, fatiguée, plus en état d'essayer de briser les liens la liant à la structure ancienne.

Peu de pensées dans son esprit, la privation des sens l'en avait purgée. Le bandeau sentait son odeur, l'odeur de celui qui l'avait traînée à la grange, attachée et suspendue comme un jambon. Elle se rappelait qu'il était placé autour de son visage, car le tissu rouge estompait la lumière. Elle entendit des pas, très faiblement : était il de retour ? Arrivait il ? Un son, quelque chose frappant le plancher, quoi ?

Elle ne savait pas, ne le saurait jamais.

Des mains touchant son visage, caressant lentement ses joues sous le bandeau, un doigt grattant lentement sa nuque. Elle frissonnait, reculait le dos, sans espoir à cause du mur.

Les mains partirent, silencieuses, puis revinrent sur son cou, deux mains dans le col de la simple robe de coton. Les doigts se séparèrent, dépouillant la robe dans son dos, déchirant le textile. Le bruit du tissu détruit était le seul bruit qu'elle entendait.

L'air froid lui fit une caresse appuyée, réfrigérant les perles de sueur qui couvraient sa peau. L'attente, l'effroi, les pensées de ce qui pourraient arriver, que voudra t'il obtenir d'elle, tout cela était presque insoutenable. Elle sentit la chaleur de son haleine sur son oreille avant même qu'il ne lui chuchote : " Vous savez que vous ne devriez pas être ici ? Vous le savez n'est ce pas ?? " Il chuintait. Elle avala sa salive, incapable de parler, mais inclina la tête.

"Personne ne sait que vous êtes ici," il hésitait, l'haleine revint sur son autre oreille, "vous êtes juste une personne disparue. Je peux faire de vous ce qu'il me plait." Elle le senti se déplacer loin d'elle. Ses oreilles filtraient des sons indiquant ses intentions, mais elle n'entendait rien de précis, des bruits étouffés seulement.

Elle cambra le dos, ankylosée. Son cerveau, apeuré, en état de choc, était incapable de déterminer l'endroit exact de son corps qui lui faisait mal. Après quelques secondes un coup, brûlant, en travers des épaules, suivi instantanément par la sueur sur sa lèvre supérieure. Un deuxième coups, douloureux, en travers de ses fesses, la fit chanceler. Elle balançait lentement, pivotant sur la corde avec l'aide de ses orteils touchant le plancher poussiéreux.

Puis de nouveau le silence.

Prisonnière, elle attendait le prochain coup, les secondes passaient lentement, devenant des minutes, elle attendait toujours. Est-ce qu'elle serait libérée? Est-ce qu'elle serait de nouveau libre ? Est-ce qu'il la frapperait encore? Qu'est-ce qu'il avait employé sur elle? Suspendue par les poignets avec la douleur dans les bras qui revenaient après avoir été dépassée par celle des deux coups reçus, elle sentit sa présence. Elle pensa comment il était étrange il était qu'elle puisse appréhender cet environnement même privée de l'emploi de ses yeux.

Ses mains étaient sur ses hanches, la faisant tourner, la tenant fermement. Est-ce que enfin il allait la libérer ? Non ! Elle sentit son corps nu, tiède se presser contre elle par derrière, ses doigts cherchant entre ses fesses, touchant la chair délicate, l'épaisseur de son pénis, la poussée brusque, sondant, cherchant. Elle serrait les fesses, déterminée à arrêter son entrée mais pouvait sentir son poing, enroulé autour de son pénis, le tenant en position contre son anus, ses jointures le poussant fermement dans son postérieur. Il poussait, lentement, fermement contre son anus. Incapable de résister à cette puissance l'anus s'étira jusqu'à ce que, soudainement, l'homme soit en elle....Son gémissement noya son cri.

La brûlure de son anus augmenta comme il entrait, devint une brûlure plus légère quand le pénis glissa entièrement. Elle se sentit pleine, pleine à éclater, légèrement inconfortable avec cette chose en elle. Il ne bougeait pas encore. Il attendait juste avec son pénis enterré dans les profondeurs de son rectum. Les larmes mouillaient son bandeau.

Après quelques minutes, il commença à se déplacer lentement, en arrière et en

avant, plongeant en elle, profondément, sa respiration augmentant audiblement derrière elle. Elle était impuissante à offrir toute résistance, avec ses mains attachées au-dessus de la tête et les pieds ne touchant guère le sol. Il arrêta. Elle sentit qu'il ajustait sa position, puis la tenant fermement il commença à la déplacer en avant et en arrière, la tirant sur son penis, puis la repoussant : c'était comme s'il se masturbait avec son anus. La sensation d'être remplie changeait avec celle de se balancer. Le rythme augmenta jusqu'à ce qu'il la tienne fermement contre lui, son pénis crachant son sperme dans ses boyaux et il s'enfonça profondément en elle. Il la repoussa et son pénis se retira de son anus, la semence s'échappant, légèrement teintée de rose à cause d'une petite déchirure.

La fille resta suspendue un petit moment, puis sans avertissement elle s'effondra sur le plancher, dégustant la poussière de la grange. Elle pouvait sentir que la corde coupée, autour de ses poignets, était déliée. Le sa...ng se rua dans ses mains la picotant comme des milliers d'aiguilles, ajoutant à son inconfort. Lorsque ses sensations revinrent, elle tira son bandeau. La lumière éclata dans ses yeux l'obligeant à les fermer. Lentement elle loucha en direction de son ravisseur, il était penché sur une table, rangeant un rouleau de corde et une cravache. Il se tourna vers elle, et lui dit d'une voix douce :

"Est-ce que c'est le prochain week-end que nous sommes censés aller voir tes parents ? "

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